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Philippe Vallet

 

Homme tu

 

 

 

 

la saison couvre les odeurs perdues

d’une naissance nostalgique

 

au stylo bruyant

des feuilles surviennent

 

tu camoufles le clin d’œil des portes fermées

 

sur l’agenda des bruits rien

tu ne sais rien  faire

 

tu te tais

 

**

 

 

pour de vastes visions tu tritures le nécessaire de l’étrave calcifiée

 

tu ouvres tes langues opaques où l’océan glacé

tu fabriques des cristaux

 

ta main

dans la poche du silence

 

 

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