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Xavier Frandon

Qu’envahissent les alléchantes solives
La magnanimité
Les oiseaux qui cherchent
Et des nuits
Des nuits sans médication

Que la chaleur orangée d’une mitre stupide
M’abreuve d’étanches gésiers couturés
Et le pain étrange, blême de désir
Évaluant l’amour
Les poches pendeloques
Ourdies sans méfiance à la vallée prospère

Et la débâcle comme un magnétoscope
Et la débâcle, qu’elle hurle, qu’elle gémisse
Comme un vase ourlé de dentelles charnues

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