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Des soleils mangeant les larmes des nénuphars, des hypothèques, aux nues des violoncelles physiques,  des absences, de calvities sur les routes crépusculaires fourmis des miroirs de flammes végétales, des polyèdres aux tétraplégies, des synonymies des arbres lettrés comme des moustaches cerises, en cris de géothermies libellules, des copulations de cheveux hydres, pamoisons aux génitrices entropies, des fluctuations de chevaux visages… 

 

 

Des soleils aux monstrations des cascades numérologies aux firmaments des prisons létales, « des physicalités » par yeux des clavicules, aux chimères des zéros acupunctures des zoologies, des géométries cimetières des dédoublements de rires microscopiques, par géologies des abstractions de nudités orgasmes !

 

Des soleils matricules, des australopithèques chimiques liquides des privatifs onanismes, par cautérisations des fontaines de fleurs minimalistes, des pleurs  à-circonstanciés par conjoncture des miasmes  de sels photographiques ; des vaccins contre les permanences des alcools apocryphes, des sourires aux œstrogènes  primates des délires aux soleils dé-régularisés des myopies d’esclavages robotiques, comme des hybridités d’araignées crachées dans les nerfs des roses frigides, des roses mécréances  par  flute d’in-variétés topologiques, des fortunes de plaies pénales, des fractales hémiplégies des discours euthanasie, par abstinence des citrons lego.

 

 

Je ris des idiots, comme des pleures astrales, aux vacuités des orages bleus et des  citrons aux rivières de fées polypes de feux artificiels

 

Je ris des voluptés des insecticides bateaux, aux réflexions des arbres aux corps de pachydermes sans yeux roulant sur les préservatifs cryptologiques des âmes putes ! Au soleil des fornications sur les neiges acryliques, sur les spectres du devenir gynécologiques, des fantasmes de chairs chrysalides, de chairs ascétiques et lépreuses comme des  ratiocinations de jeux crucifiés, dans les déontologies des larmes acoustiques, doigts vent.

 

 

Je ris des ovules aux subséquences des genoux plastifiés, dans les rousses  baleines ivres d’anthropomorphismes torpides, aux handicaps des lacs polymorphes d’éjaculations de sirènes calligraphiées en manteaux de souffle carbonique, menstruation des cœurs hippocampe bijoux, aux fluidités linguistiques des parfums aux ampoules digitales, des procréations des moléculaires des acnés carboniques par déjections des corporéités de terminaisons à l’hippocampe dé-flagellé dans les miroirs des sirènes crépusculaires, à genoux devant les trompes littéralités en vomissure des morphologies de plantes acouphènes !

Clément Velluet

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